Chère Clara, je partage ta peine pour celle qui fut pour toi plus qu'une grand-mère. Elle était ma cousine germaine, toujours prête à se laisser torturer les cheveux quand je jouais à la coiffeuse... Si la vie nous a séparées depuis une bonne vingtaine d'années, j'ai pensé à elle avec une réelle affection. Mon mari et mes fils se joignent à moi pour te présenter toutes nos sincères condoléances.