C’est avec une immense tristesse que j’ai appris le décès de Mimi. Je la connaissais depuis qu’elle servait à la Vardaf aux Brasses. Nous nous sommes perdues de vue puis retrouvées avec la scolarité de Hugo à Fillinges. Dans mes moments difficiles, suite à mon licenciement, elle avait compris que faire des brioches était pour moi une façon de rester debout. Elle refusait à chaque fois que je lui offre, me disant de mettre les sous dans la tirelire de Hugo. Je n’ai pas pu tenir ma promesse de lui en apporter une « tout bientôt »….
Je vous adresse mes sincères condoléances, soyez toujours fiers de votre épouse, de votre maman , de la volonté et de l’énergie avec lesquelles elle s’est battue contre la maladie, de la vie qu’elle a apportée au chef-lieu de Fillinges, de l’amitié qu’elle a su prodiguer à chacun.
S’il existait des mots pour apaiser votre douleur, j’aimerais pouvoir les écrire, mais je n’en connais pas.
Je ne peux que vous souhaiter beaucoup de courage, je suis de tout cœur avec vous.
Sincèrement
Valérie Corbet