C’est hier seulement (4 juin) que j’ai appris le décès de Frédéric. Même si je ne l’ai pas assez connu pour me dire son ami, Frédéric était de ces quelques personnes qui ont beaucoup compté pour moi ces dernières années. Nous n’étions que partenaires de tennis mais pour moi, et je crois aussi pour lui, c’était plus que cela. Frédéric était naturellement chaleureux, optimiste, un être sensible et bienveillant. Nous avions des affinités, une solidarité générationnelle, si je peux dire, une connivence telle que, tout compte fait, pensant sans doute en avoir tout le temps, nous n’avons pas pris la peine de nous connaître mieux et cela, je le regretterai toujours. Je ne peux pas me l’expliquer mais aujourd’hui qu’il est parti, j’en ressens terriblement le manque, le gâchis. Sa disparition si brutale me serre le coeur, m’abasourdit. Je pense à sa famille. Je lui exprime tout mon soutien dans cette épreuve. Affectueusement, Denis